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Rana Shalhoub

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بين التراث والطبيعة الساحرة "دوما" في وثائقي يروي جمال فصولها .. بالصور

في رحاب تلك البلدة الجميلة التي ترتاح بين تلال البترون الخضراء، عرض نهاية الاسبوع فيلم وثائقي يحكي بالصوت والصورة حكاية دوما القرية الهانئة التي تجمع سحر الطبيعة اللبنانية والتراث المتنقل بين حجارة الجدران وقرميد السطوح في منازلها الأثرية.

في سينما دوما القديمة وفي حضور عدد كبير من أبناء القرية والجوار والمهتمين بينهم الفنان مروان محفوظ والفنانة جنفياف يونس، عرض الفيلم الوثائقي عن البلدة من إعداد وإخراج جورج حداد وكان التعليق الصوتي للممثل جوزيف بو نصّار.

قدمت الحفل رئيسة تحرير "النشرة فن" الإعلامية هلا المر

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Hong Kong star Eunis Chan in Rony El Areif couture dress for the east weekly magazine 10th anniversary.

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Hong Kong star Eunis Chan in Rony El Areif couture dress for the BULGARY gala dinner.

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Hong Kong star Rosemary Vandenbroucke in a dark cyan Rony el Areif couture dress and international model Claudia Bezza Yeung in a B'dazzled blue Rony el Areif couture dress for the La Prairie gala dinner at the Ritz Carlton hotel - Hong Kong

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Hong Kong star Eunis Chan in a floral printed Rony el Areif couture dress for the La Prairie gala dinner at the Ritz Carlton hotel - Hong Kong

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Liban - Colloque Le patrimoine moderne, concept parfois un peu trop galvaudé, doit être urgemment défini pour être durablement protégé...

Parce que les principes qui régissent aujourd’hui le patrimoine sont encore imprégnés par la notion, très réductrice, un peu tyrannique, de monuments historiques et archéologiques, le patrimoine moderne, qui englobe la production d’objets, d’espaces et de lieux urbains des XIXe et XXe siècles, est très vulnérable. Aucune loi ne prend en effet en considération la préservation de ces témoins matériels des «temps modernes». Soit on les oublie, soit on les détruit sans s’interroger sur leur valeur. Mais depuis les années 90, la disparition brutale et quasi systématique de bâtiments qui avaient contribué à dessiner le paysage de la ville et qui étaient devenus avec le temps des repères urbains a fortement déstabilisé les habitants de la cité. Une sensibilité patrimoniale plus largement partagée s’est alors manifestée. Des actions se sont mises en œuvre, soulevant même les passions pour la reconnaissance et la mise en valeur du legs «moderne» dans toute sa diversité: magnaneries, usines, silos, moulins, bâtiments, outils agraires. L’objectif est simple: affirmer une identité propre face à la banalisation environnante et donner ses lettres de noblesse à un héritage «insignifiant il y a encore quelques années», comme le dit Yasmine Makaroun-Bou Assaf, architecte spécialisée dans la mise en valeur des sites archéologiques et professeur à l’Université libanaise de Tripoli.


L’analyse de ce processus de patrimonialisation a été l’objet du colloque organisé par Caecilia Pieri, responsable de l’Observatoire urbain à l’Ifpo et auteur du livre Bagdad Arts déco, 1920-1950, paru en 2011 chez AUCP. Seize experts libanais, français, irakiens, jordaniens et syriens se sont penchés sur les enjeux de la construction de l’«espace patrimonial moderne».

La robe de Paco Rabanne et l’imagerie populaire
La loi recommande de ne prendre en compte que les objets et édifices antérieurs aux années 1800. Bien sûr, cette consigne a volé en éclats, ne serait-ce que parce que le temps avance, mais aussi parce que l’ancienneté n’est plus un critère. «En France, l’explosion du concept de patrimoine provoque un phénomène de patrimonialisation à outrance», a souligné Gennaro Toscano, directeur scientifique de l’Institut national du patrimoine français. Du tutu de la reine à la robe en papier de Paco Rabanne, «de l’unicium au typicum, tout, ou presque est susceptible de devenir patrimoine», a-t-il relevé. «Même la savonnerie de Naplouse, en net déclin depuis la deuxième moitié du XXe siècle et qui importe son huile d’olive d’Italie, reste considérée comme un trait typique de la ville», signale à son tour Véronique Bontemps, anthropologue, chercheuse associée à l’Ifpo.

 


«Le patrimoine n’est pas forcément religieux, ni permanent, ni ancien, fait observer Yasmine Makaroun-Bou Assaf. Il suffit qu’il soit historique, vivant dans le sens où il a marqué l’histoire de la communauté. Il représente pour cette dernière un ancrage incontestable qui la lie à un territoire.» Selon elle, le processus de patrimonialisation depuis la fin du XXe siècle est animé par deux facteurs: une conscience individuelle exacerbée par les signes de la mémoire et l’enracinement au lieu; et une conscience collective alimentée par des événements historiques. «Une imagerie populaire, un subconscient collectif en quête d’identité sur fond de nostalgie entretiennent souvent des mythes ou des clichés profondément enracinés, tel celui de la maison à trois arcs... La réalité du quotidien est cependant un triste reflet du marché et de la spéculation immobilière qui jouent sur ces mythes pour vendre de l’ancien-neuf telles ces campagnes publicitaires “new old lebanese houses” ou Beit Misk», dit Mme Makaroun-Bou Assaf, qui dénonce les dérives des mesures de protection du patrimoine urbain «souvent éradiqué au profit des exploitations foncières»; l’absence d’outils législatifs et juridiques, d’écoles techniques spécialisées, du savoir-faire d’une main-d’œuvre de plus en plus rare, des matériaux galvaudés ou imités, etc.

Paradis perdu
L’intérêt autour du monde rural a aussi suscité l’éclosion d’une nostalgie qui s’est manifestée à travers la création de musées (Terbol, Bsous, Ras Baalbeck, Saïda, Chebaa), sans oublier les cafés drapés dans un décor traditionnel ou déclinant une «recomposition caricaturale» d’un village traditionnel.

 

(Lire aussi : Au nord de Beyrouth, Wadi el-Salib, un coin de paradis réhabilité)

 

Ce monde paysan «est porteur de l’idée d’un paradis perdu que l’on oppose au monde moderne», souligne Houda Kassatly, ethnologue, photographe, chercheuse associée à l’Université Saint-Joseph. «C’est comme si la détérioration de l’environnement générait une sorte de prise de conscience écologique qui a pour corollaire la réhabilitation et la reconnaissance de l’importance du monde rural et ce particulièrement dans les tranches citadines de la population... qui aspirent à ce qu’elles considèrent comme une authenticité», fait-elle remarquer en substance. De même, la pléthore d’objets collectionnés, tels les machines à coudre Singer, les fers à repasser importés d’Occident, les moulins à café fabriqués en Turquie et revendiqués comme un bien d’héritage commun, «démontre que le patrimoine est une valeur partagée et peut-être même une valeur refuge pour laquelle s’exprime un engouement sans précédent», ajoute l’ethnologue.

 


FLC et FAI : mémoire d’un peuple
Le septième art non plus n’est pas exclu du processus de patrimonialisation. Il est «le témoin d’une époque, d’un événement», affirme la présidente de la Fondation Liban Cinéma (FLC), Maya de Freige. Exposant un petit historique du cinéma libanais allant des origines (1929) au studio Baalbeck et à la vague de cinéastes qui se succèdent depuis les années 70, elle relève que «la mémoire a un rôle prépondérant dans la création cinématographique si l’on en juge par les films qui ne cessent de questionner une histoire officielle et les vides béants laissés par un conflit encore à vif». Mais ce sont surtout les archives de Télé Liban qu’elle met en exergue, soulignant que «des pans entiers de notre histoire sont gravés sur des pellicules». Aussi, pour préserver ce patrimoine, l’opération «Plan Images Archives», initiée en 2008 et financée par le ministère français des Affaires étrangères et européennes, a permis de sauver «près de 91 heures», a déclaré Mme de Freige.


L’objectif est toutefois «la restauration complète des images d’archives culturellement significatives de la chaîne», qui comprend environ 30000 heures en U-Matic (entre actualités et séries), 6600 heures en deux inches (de séries) et 600 heures en 16mm (d’actualités, documentaires et séries). L’intervenante a en outre affirmé que l’association UMAM a réussi à acquérir une grande partie des archives de la collection de studio Baalbeck et qu’à l’initiative de «Nadi lekol el-Nass», l’œuvre intégrale de Maroun Baghdadi sera bientôt disponible sur DVD. En substance, films libanais ou archives de Télé Liban, «la FLC œuvre pour préserver ce legs et le rendre accessible au grand public, en constituant “un musée virtuel”», a conclu Maya de Freige.


Pour sa part, sur le thème «La photographie arabe, de la pratique artistique à la documentation anthropologique», Zeina Arida, directrice de la remarquable Fondation arabe pour l’image (FAI), a évoqué la collection de Hachem al-Madani à Saïda, dont le fonds, composé de 600000 clichés dévoilant l’environnement social sur des décennies, constitue un patrimoine historique et iconographique immense.

Douma et les silos de Chekka
L’intervention de l’architecte-urbaniste Antoine Fischfisch s’est articulée autour du schéma directeur mis en place depuis 1998, pour la mise en valeur du tissu urbain traditionnel de Douma.


«Inscrit, dit-il, dans une approche patrimoniale postmoderniste, faisant appel à l’histoire, à la mémoire et à la culture locale», il vise l’amélioration du niveau de vie dans le village (écoles, hôpital, loisirs, etc), la réhabilitation du cadre urbain et paysager, et la préservation du souk (XIXe) et de 240 habitations traditionnelles, principalement des maisons vernaculaires monocellulaires et des maisons à iwan.


La contribution de Béchara Mouannès, professeur à l’USEK où il dirige depuis plusieurs années l’atelier «Architecture et patrimoine», a été centrée sur le patrimoine industriel et sa reconversion. Afin, dit-il, de sensibiliser les futurs architectes à la notion de l’«archéologie moderne», il avait proposé à ses étudiants le recyclage des silos de ciment de Chekka. «L’objectif de l’exercice est de s’interroger sur le processus de construction de la mémoire autour d’usines et de sites industriels disparus ou en voie de réhabilitation, une reconversion nécessaire tout en gardant l’utile.»
Parmi les participants également à ce séminaire, l’architecte professeur à l’UL Mousbah Rajab; Arpiné Mangassarian, responsable technique à la municipalité de Bourj Hammoud et fondatrice de l’association «Badguer» pour la sauvegarde du patrimoine culturel de ce quartier; Sarab Atassi, responsable à l’Ifpo de l’Atelier du Vieux-Damas, et Serge Yazigi, directeur de l’observatoire urbain Majal, qui dirige l’équipe d’experts chargée de l’élaboration du plan stratégique du haut plateau du Akkar, piloté par le CDR...

 Link : http://www.lorientlejour.com/category/C380+La+Une/article/790641/3C3C+Le_patrimoine_n27est_pas_forcement__religieux2C_ni_permanent2C_ni_ancien...+3E3E_.html

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Douma attractivie tourism spot sees stagnant population growth

Location

Douma is located in the Batroun caza as part of the mohafaza of the North and is 75 km. away from Beirut. It stands at an altitude of 1,060 meters and occupies an area of 1,147 hectares.

Residents

Douma’s registered population reaches approximately 5,000 people. It is worth noting that in 1965, the registered population was in the region of 4,800 individuals (an increase of less than 2,000 people over the last 35 years).

The resident population is estimated at around 1000, but increases in the summer season to approximately 2000. Confessionally, the breakdown of residents is as follows:

• Orthodox: 50%
• Catholic: 37.5%
• Maronites: 11.5%
• Other: 1%

The residents of Douma belong to around 50 families, namely the families of Chalhoub, Maalouf, Issa, Murr, Haddad, Bacha, Sawaya, Chammas, Hajj, Wehbe and Samaha.

The number of households is estimated at around 520, while that of commercial institutions reaches 50. In addition, Douma has one hotel with 44 rooms which continues to attract tourists.

Number of Voters

Registered voters in the year 2000 reached 3,100, 866 of whom participated in the election process (28% of the registered population). The main families are distributed as follows:

• Chalhoub: 340 voters
• Maalouf: 306 voters
• Bacha: 183 voters
• Sawaya: 167 voters
• Chammas: 159 voters
• Ghanma: 135 voters
• Hajj: 110 voters
• Wehbe: 92 voters
• Samia: 71 voters
• Chahine: 66 voters
• Issa: 55 voters
• Murr: 50 voters
• Haddad: 47 voters
• Sammour: 45 voters
• Ayoub: 44 voters
• Kheir: 40 voters
• Safi: 40 voters

Local Authorities

Douma has two mayors (Salah Chalhoub and Nicolas Bacha) and the local administration is run by a municipal council composed of 15 members and headed by Hanna Ayoub.

Education Sector

There are 4 educational institutes in Douma: The Douma Public High school (57 students), the Public Intermediate School of Douma (100 students), the Choueiri Sisters School (60 students) and the Vocational School of Douma (200 students).

Public Institutions

The public bodies are made up of a Lower Court, an Internal Security Forces post and a Census Bureau.

Associations

The three associations that exist in the town are social, cultural and sports oriented, in addition to two agricultural cooperatives that engage in apple and olive production.

Religious Establishments

There are nine churches in Douma, with six for the Maronite sect, two for the Orthodox and one church for Catholics, in addition to three Maronite convents and one Orthodox convent.

Link :

http://www.information-international.com/iimonthly/issue6/discover.html

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Douma, one of Lebanon’s most beautiful villages

Last sunday, I visited Douma for the first time. I stood in awe at the side of the road looking

down at this beautiful village sitting peacefully in a valley, surrounded by mountains.

Douma village, Lebanon

Douma is a Lebanese village located at an altitude of 1000 m and is 80 km from Beirut. It is a part of Batroun District. As you can see in the above picture, almost all its houses are made of red brick. It enjoys a unique temperate climate praised by physicians as the ultimate place of medical refuge. Its ground is rich and welcomes all sorts of plants and has an abundance olive trees, vine and apple trees. [source]

I grabbed my cam and took a walk in the old souks and between houses.

People were so welcoming, smiling back and inviting us to take more pictures.

They are now used to see cameras, celebrities and directors taking shots for movies,

ads and video clips. Nadine Labaki and her crew occupied it for 5 weeks for the shooting

of W Halla2 La Wein? movie.

Douma’s habitants are strong supporters of cinema. A movie theater is under

 preparation with the support of the Ministry of Culture.

Some of the pictures I took in Douma:

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Douma to start $2.68-mln renovation of souq     May 15, 2010 12:00 AM   By Antoine Amrieh  
   
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DOUMA: The inhabitants of the northern village of Douma, known for its locally produced olive oil and summer festivals, are preparing for a long-awaited renovation of their traditional souq.

 

The project is expected to cost $2.68 million, to be secured from foreign resources, while the task of refurbishing the site will be shouldered by the Council of Development and Reconstruction (CDR).

 

In 1996, the mountainous location of Batroun was crowned the most beautiful Lebanese village by the Tourism Ministry. Douma’s ancient souq has more than 125 stores and shops, as well as a cinema and a theater.

 

After its earlier status as one of the country’s leading commercial markets, the site is only used nowadays to display local products during festivals held in the village.

 

The Cabinet endorsed on the renovation project in March, following a proposal made by Douma’s municipality to the Interior Ministry. The request was forwarded along with a detailed study about the project prepared upon the request of the village’s former mayor, Hanna Ayoub.

 

Mazen Abboud, an engineer from the town, has written a book about Douma and its famed souq, entitled “ Douma, the Story of an Oriental town.”

 

In it, Abboud pays tribute to Interior Minister Ziyad Baroud for securing sufficient funds to perform the task, and notes the interest of the head of the CDR, Nabil Jisr, in the project.

 

He also thanks Douma’s current mayor, Joseph Khairallah Maalouf, for his role in overseeing the initiative.

Maalouf said that in the previous two years, Douma has hosted between 3,000 and 5,000 tourists during the summer months, adding that this number might increase dramatically after restoring the market and promoting it to tourists.

 

Maalouf said the renovation project would combat rural-urban migration in the town, which has a core population of only several hundred people.

 

“If we work on supporting the 50 [extended] families who own the shops of the historical souq, we will prevent them from moving to the coast on one hand, and we contribute to achieving administrative decentralization on another.”



Read more: http://www.dailystar.com.lb/News/Local-News/May/15/Douma-to-start-$268-mln-renovation-of-souq.ashx#ixzz27W4hkSGr
(The Daily Star :: Lebanon News :: http://www.dailystar.com.lb)
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Samir Rachid Sawaya,

 peintre et restaurateur libanais, né le 7 Janvier 1947
Il a commencé à dessiner depuis son plus jeune âge. Il a Participé en 1964 à la galerie des artistes de la région de Batroun, qui a eu lieu à Batroun. Depuis lors, il a été considéré comme un professionnel, et conseillé par de nombreux artistes et intellectuels de ne pas rejoindre l'Académie à cause de la force de son talent.

Il a également participé le premier mai 1979 au festival d’Achrafieh et a remporté le prix. Il a représenté le Liban au Festival des jeunes arabes à Marrakech.

En 1979, il a réalisé sa propre exposition dans le Hall de la Culture à Antélias, intitulé «Le Liban et l'histoire". Depuis, il a été considéré comme l’artiste de la résistance par excellence. Par suite il réalisé plusieurs expositions et a réparé plus d’une douzaine d'églises dans différentes régions du Liban

Samir Rachid Sawaya, Lebanese painter and restorer, born on
January 7, 1947

He began drawing from an early age. In 1964, he participated in the gallery of artists of Batroun region, which took place in Batroun. Since then, it was considered a professional, and advised by many artists and intellectuals not to join the Academy because of the strength of his talent.

He also participated on the first of May, 1979 in Achrafieh Festival and won. He represented Lebanon in the Arab Youth Festival in Marrakech.

In 1979, he made his own exhibition in the Hall of Culture in Antelias, entitled "Lebanon and history." He has since been regarded as the artist of resistance. As a result he made several exhibitions and has repaired more than a dozen churches in different regions of Lebanon

Link : http://www.facebook.com/#!/samirsawayapeintre

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A Message of HOPE: An invitation to work TOGETHER

Dear Doumanians & friends,

 

Douma Club is a non-profit organization driven by its primary mission to enhance cultural education and athletic programs in the beautiful village of Douma.

In an effort to foster cultural exchange among its youth community, Douma Club is planning to renovate its existing building location for the purpose of constructing and furnishing a new youth hostel facility.

This facility will promote cultural exchange by providing visitors with an affordable place to lodge, while providing them with all the facilities and programs that Douma Club has worked to build and operate over the past few years - Eco Tourism trails, sports facilities, fitness gym, Children’s park and playground, theatre, computer center etc.

Douma Club has worked tirelessly over the past few years to realize these projects with very scarce resources at hand. Committed supporters had made it possible to accomplish them. These facilities and programs have been utilized mostly by Douma residents and by members of neighboring communities. With the establishment of the proposed youth hostel facility, we will significantly enhance cultural exchange between visitors to Douma and our residents by fostering direct interaction and sharing of experiences via existing club activities and services. Essentially, this hostel will offer Douma residents and visitors the best opportunity to mingle and to appreciate one of the most unique villages in Lebanon.

With your support, we aim to raise 300,000 USD which will allow us to finish the project in just two years. Your kind donation will make a huge difference in making this dream a reality.

References to emails of other people you think can help would also be greatly appreciated.

The progress of both our club and Douma depends on our taking positive action towards development & improvement, now and for years to come.

By working together in the spirit of care and cooperation, we can ensure the continual enrichment of our community and the sustenance of our traditions and values.

Donations are accepted via cash deposit or transfer to the Douma Club Acct. at Bank Audi, Acct. No.566665-461-001-056-01; IBAN code LB 360056-00056666546100105601; Swift code AUDB LB BX

Thank you, in advance, and we look forward to sending you promising updates on our fundraising campaign and on the progress of our work on this fantastic project! Hope to see you in Douma soon!

Salam wa Mahabbah

Hayat El-Hajj Shalhoub

President

 

www.doumaclub.com email:doumaclub@doumaclub.com

facebook,doumaclub


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What is Ecotourism?

 

EcotourismThe Definition:

 is defined as "responsible travel to natural areas that conserves the environment and improves the well-being of local people." (TIES, 1990).

 Purposes:

1 -Conservation

Offering market-linked long-term solutions, ecotourism provides effective economic incentives for conserving and enhancing bio-cultural diversity and helps protect the natural and cultural heritage of our beautiful planet.

2 -Communities

By increasing local capacity building and employment opportunities, ecotourism is an effective vehicle for empowering local communities around the world to fight against poverty and to achieve sustainable development.

3 -Interpretation

With an emphasis on enriching personal experiences and environmental awareness through interpretation, ecotourism promotes greater understanding and appreciation for nature, local society, and culture.

 

Principles of Ecotourism

Ecotourism is about uniting conservation, communities, and sustainable travel. This means that those who implement and participate in ecotourism activities should follow the following ecotourism principles:

  • Minimize impact.
  • Build environmental and cultural awareness and respect.
  • Provide positive experiences for both visitors and hosts.
  • Provide direct financial benefits for conservation.
  • Provide financial benefits and empowerment for local people.
  • Raise sensitivity to host countries' political, environmental, and social climate.

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Douma

Date de mise en ligne : 27 mars 2007 (Mise à jour : 18 janvier 2009)

 

Situation

La municipalité se situe à une distance d'environ 88 kilomètres (54.6832 mi) de Beyrouth la capitale du pays. Elle s'élève à une altitude de 2500 mètres (1)(8202.5 ft - 2734 yd) du niveau de la mer et s'étend sur une surface de  1100 hectares (11 km² - 4.246 mi²) (2).

Electorat, autorités locales, ressources et compétences

Les documents suivants traitent des élections municipales et ikhtariah. Ils contiennent un ensemble de données concernant l'électorat municipal et les autorités locales.

Dossier sur les élections municipales et ikhtariah libanaises de 2010 et la distribution des revenus du Fond Municipal Indépendant.

Ce dossier, uniquement disponible en langue arabe, donne un aperçu complet du nombre de votants, de conseillers municipaux, de makhatirs, ainsi que de la distribution des revenus du Fond Municipal Indépendant de 2002 à 2007 pour chaque municipalité et fédération de municipalités.

Dossier sur les élections Municipales et Ikhtariah de 2004.

Ce dossier, uniquement disponible en anglais et arabe, traite des élections Municipales et Ikhtiariah qui se sont tenues courant 2004. Il permet d'avoir un aperçu complet du nombre de municipalités (et de leur répartition), de conseillers municipaux, de votants, de Makhatirs, par Caza et par Mohafazah.

Etablissements scolaires

Le tableau ci-dessous permet une comparaison des établissements scolaires publics et privés au niveau local et national. Il permet également d’apprécier la répartition des élèves scolarisés entre les établissements publics et privés aussi bien au niveau local que national. Toutes les données fournies sur l’enseignement concernent l'année scolaire 2005-2006. Dès la publication de chiffres plus récents nous nous efforcerons de les mettre en ligne.

Etablissements scolaires - Douma (2005-2006) (3)

Liban (2005-2006) (2)

Nombre d'établissements scolaires

3

2788

Etablissements scolaires publics

2

1763

Etablissements scolaires privés

1

1025

Elèves scolarisés dans les établissements publics

151

439905

Elèves scolarisés dans les établissements privés

46

471409

 

 

Il n'existe pas d'instituts d'enseignement superieur dans la municipalité même.

Etablissements de Santé

Il n'existe pas d'hôpitaux privés ou publics dans la municipalité.

Activité économique

Activité économique (2004)

Activité commerciale et industrielle (3)

Entreprises employant plus de cinq salariés

10

 

Entreprises

Non disponible

 

Activité agricole (3)

Type de cultures majeures

Olives, pommes

 

Spécificités

Non disponible

 

Activité minière (3)

Nombre de mines

Non disponible

 

Type d'activités

Non disponible

 

Statut

Non disponible

 

Pollution et risques technologiques

Aucun pôle polluant majeur ni aucun pôle à haut risque technologique n'ont été recensés dans la municipalité même.

 

Municipalité de Douma (2008) (4)
Adresse Place du village - Municipalité de Douma - Caza de Batroun
Numéro de Téléphone    06/ 520 015
Numéro de Fax    06/ 520 015
Boîte Postale Non disponible
Adresse Mail Non disponible
Sites Web

 

Adresses :
(1) Ministère de l’Intérieur et des Municipalités (République Libanaise - http://www.moim.gov.lb)
(2) Administration Centrale de la Statistique (République Libanaise - http://www.cas.gov.lb)
(3) Conseil du Développement et de la Reconstruction (République Libanaise - http://www.cdr.gov.lb)
(4) Bureau du Ministre d'Etat pour la Réforme Administrative (OMSAR - http://www.informs.gov.lb - République Libanaise)
Link :

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Douma's memory

The Turks had driven the people of Douma out of their village more than once and then set fire to the entire village. This was the price that the people of Douma had to pay as a result of ambushing a Turk contingent leader and his forty soldiers who came to the village to collect taxes. Stories mention that Douma Sheikh invited the contingent Leader and his 40 soldiers to a dinner banquet where the Leader saw the Sheikh's daughter and wanted to take her as his wife. Though the Sheikh turned down the leader's request, the latter insisted on it. So, the Sheikh of Douma turned to the people of his village, put a plan with them to kill the leader and his 40 soldiers. The Sheikh, with the help of the people of Douma poisoned the leader and his soldiers during the dinner banquet and killed their horses as well. Then they buried them all in a region known as "Jawar AlKhayl" (horse's neighborhood) that incident later known as “Al Qshlaq battle", and was one of the first incidents against the Othman Sultanate.

Link :

http://www.nna-leb.gov.lb/innersection/studies/Douma/douma_en.htm

 

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Douma's Golden Age

After World War I, immigration from Lebanon increased to the north and south of America. Some of Douma's people, as the case is in other Lebanese villages and towns, immigrated in search for a better living. However, they kept connections with their homeland. Stories mention that the majority of the infrastructure and housing in Douma was built between 1881 and 1914, that period was considered the golden age in the life of Douma and was financed by the money set by those emigrants.

Nowadays, the citizens of Douma hope their village regains its old good days, stressing that improving transportations with Al-Koura, Tripoli, Batroun and Jbeil as well as completing Batroun - Tannourine highway would play a vital role in bringing back prosperity to Douma.

Link:

http://www.nna-leb.gov.lb/innersection/studies/Douma/douma_en.htm

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Douma ancient market (El Bendr)

Douma has become a meeting place for the lovers of Lebanese architecture and a scene for movie and theater producers, who found in the distinguished village a perfect place to shoot some scenes for their programs and movies.

Douma contains 450 old houses and an ancient market made of 110 shops and it has 5 gates to Batroun, Jbeil, Hermel, Baalbeck, Tripoli and Akkar.

In 1881, Douma witnessed the formation of the first municipal commission which worked on organizing the market. Later, the market witnessed an active movement, mainly with people coming to it from Baalbeck and other villages and towns.

 At that period, Douma also witnessed the building of schools and the formation of associations.

http://www.nna-leb.gov.lb/innersection/studies/Douma/douma_en.htm

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Douma:  Permanent habitat and nature host for many civilizations

 Overview:

If nature had a habitat, it would be Douma. If heritage had a title, it would be the red-roofed town.

 

Douma, its red brick houses and its old market, are full of memories.

Douma, an ancient scorpion-shaped village in Batroun mountainous region, was crowned a tourism town in 1969 and queen of Lebanese villages in 1996.

 Douma hosted many civilizations, each of which left behind abundant traces of its culture.

Douma is also characterized by a strategic location which made of the town a compass which guided convoys through a road known as "Al- Sham trails" or "Al Sham road”. It is a road which connects Douma to Al-Sham (Syria) via Baalbek - El Hermel, towards the coastline.

The convoys movement was accompanied by opening a market called "Al Bandr" which had a significant role in strengthening the economic life cycle in the town. Douma witnessed a remarkable social, industrial and economic rise between 1881 and 1914 Douma's golden age.

 Link :

http://www.nna-leb.gov.lb/innersection/studies/Douma/douma_en.htm

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Jumelage entre la ville de Digne-les-Bains et la municipalité de Douma

A l’origine de ce jumelage : un voyage au Liban de Pierre Rinaldi, maire de Digne-les-Bains, avec d’autres maires français, du 12 au 18 août 1985. Ce voyage était organisé par l’association Midi-Phénicie.
Le « serment de jumelage » est signé à Digne-les-Bains le 4 août 1987, devant l’hôtel de ville. Les deux signataires : Pierre Rinaldi et Salim Sawaya, représentant le président de la municipalité de Douma. Ce même début d’août 1987, des jeunes de Douma participent aux défilés du Corso de la lavande. Des jeunes de Douma sont également venus à Digne-les-Bains pour les corsos 1986 et 1988.

Relance du jumelage en 2003 : le 3 septembre, Serge Gloaguen reçoit son homologue de Douma, Hanna Ayoub.

Douma, village de charme, un patrimoine préservé au Liban.
Douma, petit village du Caza de Batroun, est la destination incontournable des amoureux du calme, de la marche et de la nature. Différents circuits de randonnées à travers bois, collines et vallées offrent par la même occasion la possibilité de découvrir une région riche en temples païens, couvents et vieilles églises.


Ayant su préserver son vieux souk et ses 240 maisons traditionnelles, désormais classés comme faisant partie du patrimoine national, Douma a échappé, comme par miracle, au modernisme qui a atteint les coins les plus reculés de la montagne libanaise. C’est sans doute une destination rêvée au Liban pour les adeptes de plus en plus nombreux de l’écotourisme.

Link:

http://new.dignelesbains.fr/?page_id=112

http://www.localiban.org/spip.php?article4982

http://www.facebook.com/groups/51408626588/

 

Rana Shalhoub

Rana Shalhoub

Jhony Maalouf, chercheur au CNRS et chouchou de « The Voice »...

31/03/2012

Jhony Maalouf sur la scène de « The Voice »...
Jhony Maalouf sur la scène de « The Voice »...
Portrait Travailler sur des cellules cancéreuses et chanter (sur TF1) « se complètent »...

Avec son doctorat en sciences, son destin semblait tout tracé. Mais à 29 ans, Jhony Maalouf, chercheur au CNRS de Lyon et l’un des favoris de l’émission de télé-crochet de TF1 « The Voice : la plus belle voix », compte bien aller jusqu’au bout de son « rêve de gosse ».
« Quand je suis monté sur scène la première fois, j’avais l’impression d’avoir 15 ans, c’était magique », confie, interrogé par l’AFP, ce jeune homme réservé, derrière ses lunettes et un fin collier de barbe, encore sous le coup de son « incroyable » aventure. « Le plus impressionnant c’est quand les coaches, Garou, Florent Pagny, Louis Bertignac, assis dos à la scène, se sont retournés, car j’ai grandi en les écoutant et je les voyais pour la première fois, souriants et heureux de m’écouter à leur tour, c’était génial », poursuit-il.
Lors de son audition « à l’aveugle », première étape de la compétition, le jeune homme d’origine libanaise, « très ému », avait conquis le jury et le public en interprétant You raise me up de Josh Groban. Au point que dès le lendemain, cette chanson sortie en 2001 arrivait au top 5 des téléchargements. « C’est un peu la chanson qui m’a choisi car, plus jeune, je travaillais ma voix sur les musiques de Groban. Alors quand on m’a proposé ce titre, je me suis dit que c’est un signe », ajoute celui qui a « commencé à chanter comme choriste à l’église au Liban ».
Ce soir samedi, Jhony Maalouf chantera « en duel » avec un des autres favoris, lors des « battles », ultimes étapes avant les « live » à l’issue desquels sera désigné le vainqueur.
Arrivé en France en 2003 pour « se spécialiser en biologie cellulaire », ce « passionné par la recherche » décide de « s’engager dans un projet artistique pour chanter et créer ». Il monte un premier groupe, mais arrête pour passer sa thèse. Un an plus tard, il reforme le groupe Broadwave avec « trois potes » avec qui il donne « quelques concerts » et sort deux albums. Pendant deux ans, cet « amateur de musique classique » suit une « formation de musique actuelle » au conservatoire de Lyon, « pour être plus créatif » et « plus à l’aise sur scène ».
« J’écris et je compose car ça m’épanouit », dit celui qui, revêtu d’une blouse blanche, passe « 80 % de son temps » dans son laboratoire, derrière son microscope, à scruter des cellules cancéreuses. « Les deux se complètent, car la recherche c’est très cérébral et avec la musique, on s’abandonne », explique le chercheur contractuel, parlant avec « passion » de son métier.
Lorsque l’équipe de casting de TF1 l’a contacté pour participer à « The Voice », il a « été très heureux ». « Après, dit-il, je me posais des questions, savoir comment ça allait interférer avec mon travail de scientifique. Mon chef m’a dit “Saisis ta chance et tu verras” », raconte Jhony Maalouf, qui n’imaginait pas « laisser tomber un sujet » sur lequel il travaille « depuis trois ans ».
« J’ai continué à travailler normalement avec quelques allers-retours à Paris pour le coaching avec Garou », explique-t-il, reconnaissant vivre dans un « tourbillon » mais entendant bien « garder les pieds sur terre ». Et pour la suite, « tout dépend de la fin du parcours. Je n’arrive pas à penser que je peux aller jusqu’au bout, même si j’ai un côté compétitif », dit-il. « Mais je ne veux surtout pas que ça gâche le plaisir de cette expérience incroyable. »
La preuve en sons et en images, ce soir...

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Rana Shalhoub

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Douma, village de charme
un patrimoine préservé au Liban

Douma, petit village du caza de Batroun, est la destination incontournable des amoureux du calme, de la marche et de la nature. Différents circuits de randonnées à travers bois, collines et vallées offrent par la même occasion la possibilité de découvrir une région riche en temples païens, couvents et vieilles églises. Ayant su préserver son vieux souk et ses 240 maisons traditionnelles, désormais classés comme faisant partie du patrimoine national, Douma a échappé, comme par miracle, au modernisme qui a atteint les coins les plus reculés de la montagne libanaise. C'est sans doute une destination rêvée au Liban pour les adeptes de plus en plus nombreux de l'écotourisme.
Visite guidée, l’espace d’une journée, dans ce charmant village qui vit durant trois semaines du mois d’août au rythme de son festival.



Douma, un beau village du Mont-Liban à l’histoire mouvementée
Un livre de Mazen Abboud


Hiver 2008- «Comme qui aurait besoin d’une course à Douma. » Ce proverbe libanais signifie que celui qui ne peut s’acquitter facilement d’une course se trouvera obligé de passer par Douma, un beau village des hauteurs du Batroun. Si cela n’est plus vrai de nos jours, ce proverbe montre bien que ce village, considéré aujourd’hui comme éloigné, a été durant des siècles une place centrale, très fréquentée parce que situé sur la route qui reliait l’intérieur syrien à la côte. C’est à Douma, à son histoire, à ses anecdotes, à son souk, à ses gens, à ses jolis toits en tuile et à sa nature belle et revêche que l’un de ses fils, Mazen Abboud, dédie un livre qui ressemble fort à une lettre d’amour.
Douma, l’histoire d’un village du Levant, est un livre qui se veut de toute évidence la somme de tout ce qui peut être rassemblé comme informations sur ce village typique du Mont-Liban, l’un des seuls à avoir gardé un cachet aussi caractéristique. L’ouvrage est riche en photos, qu’elles soient d’époque ou contemporaines. Il allie les informations purement historiques aux histoires racontées de père en fils, comme aux anecdotes véridiques, à l’instar de ce vieillard qui a refusé de s’approcher de la première voiture du village, criant à qui voulait l’entendre : « C’est la machine du diable qui va vous détruire, anéantir l’univers et paralyser la vie ! » Les écologistes ne seraient pas loin de cet avis actuellement… Ou encore cette bande de jeunes illuminés qui comptaient planifier un soulèvement communiste aux États-Unis à partir d’un grenier, avant d’être découverts pour avoir causé un incendie dans leur lieu de réunion et de devenir la risée du village !
Certes, dans certaines de ses parties, le livre devrait intéresser davantage les personnes originaires du village que le grand public, comme pour le détail des familles ou l’histoire des différents chefs de municipalité. Mais dans l’ensemble, il est clair que l’histoire de ce village résume en quelque sorte l’histoire mouvementée du Mont-Liban, et s’y incruste parfaitement, d’où l’intérêt, pour un public plus large, de s’y attarder.
Ainsi, l’auteur commence par élaborer les éléments dont il dispose sur des époques lointaines, qu’elles soient imaginées (légende de la naissance du village) ou réelles. Il semble notamment que Douma ait été habitée et prospère dès les ères grecque et romaine, et que sa position géographique, centrale pour l’époque, lui ait conféré depuis ce temps-là un rôle important. À l’instar d’autres localités du Mont-Liban, Douma a aussi souffert de persécution et de graves retournements de situation à des époques diverses (croisades, mameloukes, occupation ottomane, Première et Seconde guerres mondiales). Mazen Abboud rapporte l’histoire de « la calamité de Kashlak », quand le massacre, par des hommes du village, d’un groupe de préposés ottomans a causé la quasi-destruction de Douma, au dix-septième siècle.
Une importante partie de l’ouvrage est dédiée aux familles, aux métiers et, surtout, au souk qui fit la réputation de Douma. Ainsi, l’on apprend que cette localité, qui n’a jamais été gâtée en ressources hydrauliques, a toujours privilégié les industries à l’agriculture. Forgerons, savonniers, armuriers, fabriquants de soieries, commerçants divers… ont peuplé le village et conféré à son souk une réputation qui dépassait de loin ses murs. Si l’on y ajoute les cafés et l’organisation assurée par le conseil municipal, l’un des premiers de tout le Mont-Liban, on comprend bien la période dorée vécue par ce souk au dix-neuvième siècle, puis au vingtième siècle, jusqu’au développement des grandes villes côtières qui a plongé toutes les localités « de l’intérieur » dans l’oubli.
Douma, c’est aussi plusieurs communautés chrétiennes qui coexistent, notamment une importante communauté orthodoxe qui a, depuis toujours, entretenu une relation privilégiée avec la Russie, si bien que le village conserve toujours un portrait d’époque du dernier tsar, ainsi que le « salon rouge » qui appartenait au consulat de ce pays à Beyrouth, avant l’ère bolchévique. Douma, c’est enfin un lieu de culture, tel que dépeint par l’auteur, qui rapporte que le village a abrité l’un des premiers théâtres du pays, et aussi un lieu où la société civile est active depuis plus d’un siècle. Un village qui est resté plutôt neutre durant la guerre civile, sans être à l’abri des divisions politiques, surtout depuis quelques années. Quant à la belle architecture traditionnelle qui caractérise Douma, elle est bien visible dans les photos.
L’ouvrage est publié en langue arabe, avec un résumé en anglais. Il est abondamment illustré et se lit aisément. Son auteur, Mazen Abboud, est connu pour son engagement en faveur de l’écologie et du patrimoine. Il a réussi à faire de son ouvrage un concentré d’informations, de traditions et d’anecdotes qui, autrement, avec l’éloignement des origines que l’on observe actuellement au Liban, se perdraient.

Article de Suzanne BAAKLINI pour L'Orient-Le Jour

Link: http://www.libanvision.com/douma.htm

Rana Shalhoub

Rana Shalhoub

A une heure et demie de la capitale, Douma semble loin de la vie citadine bruyante. Arrivés à 1100 mètres d’altitude, une route serpente devant nous entre les champs d’oliviers et les plantations en terrasse pour nous révéler soudain la destination de notre escapade : le village de Douma, un lieu intime regroupant maisons traditionnelles à toits plats, maisons bourgeoises à tuiles rouges, églises et temples pa?ens C’est là qu’un monastère reprend actuellement vie…

Douma, village traditionnel et destination pour les adeptes de l’éco-tourisme, offre un caractère authentique au coeur du quotidien des villageois toujours fidèles à leurs métiers hérités de leurs ancêtres, comme les industries de cuir et de bois qui ont connu leur âge d’or à l’époque Ottomane. Douma, du nom de l’impératrice Julia Doumna, épouse de l’empereur romain Septime Sévère (IIIème siècle av-J.C.), est parvenue avec acharnement à conserver ses racines à la différence de bien des villages saccagés par la modernité. Et le monastère Saint Jean-Baptiste en est l’exemple le plus révélateur.

Un monastère revoit le jour

Le monastère Saint Jean-Baptiste, dont une partie fut bâtie au V ème siècle, est paisiblement ancré au versant ouest de la montagne, au bas du village de Douma, sur les vestiges d’un ancien temple romain. Que d’histoires se cachent entre les murs de cette maison de Dieu délaissée depuis la pierre jusqu’à la terre à une destinée inconnue. Jusqu’au jour où une nouvelle communauté monastique orthodoxe - la communauté de la Sainte-Trinité - décide de s’y installer. Après une série de restaurations interrompue, un chantier de restauration sérieux reprend en 1990. Aujourd’hui, ce monastère retrouve son statut initial avec l’ajout d’une nouvelle aile sur deux niveaux intégrant la pierre locale (par récupération) pour l’enveloppe extérieure et le bois pour les parties intérieures. Le chantier a profité de la main d’oeuvre et de l’expérience des ouvriers du village, que ce soit pour la construction et la fabrication de l’ameublement intérieur Un intérieur métamorphosé grâce à l’approche de l’architecte Elie Abi Nassif, enseignant à l’Ecole d’Architecture de l’ALBA : « ainsi, les colonnes en pierre, la ferronnerie, etc., ont été refaites à l’identique. Les mêmes couleurs ont été reprises avec les même matériaux comme la pierre calcaire blanche de la région,le bois de chêne avec le respect des proportions et du gabarit ».

Une expérience personnelle

L’approche de l’architecte Elie Abi Nassif se voulait une réponse harmonieuse, dans le respect des traditions, et un travail délicat dans l’intervention. Face à un édifice délabré, le programme de son projet était de transformer l’existant en un espace vivable tout en retrouvant les fonctions d’origines de chaque espace. Surtout qu’à l’époque de son abandon, de nouvelles fonctions contre-nature sont venues occuper l’espace : caserne, abri pour animaux... « Au début de notre chantier, explique Elie Abi Nassif, l’espace était invivable : un minimum de sanitaires à l’extérieur intégré maladroitement au volume existant, donc une hygiène insuffisante. Pendant des mois, j’ai dû passer des nuits dans un lieu dépourvu de tout confort. C’était un véritable défi pour moi de surmonter cette situation précaire et un souci de réhabilitation que j’ai voulu juste pour ses propriétaires…Une expérience dans laquelle on perçoit le contraste entre les besoins quotidiens du monde qui assure le confort des citadins face à ceux plus modestes des moines, bref deux concepts opposés de vie ! »Sans compter les difficultés relationnelles : « m’intégrer dans le contexte naturel de cette région et partager le quotidien des villageois – et surtout des religieux - ne fut pas si simple au début car ils me prenaient pour un étranger en train d’intervenir sur une terre qui leur était chère. Pourtant, le fait d’intégrer différents corps de métier du village dans notre propre équipe a fini par instaurer un climat de confiance, ce qui nous a permis de mener à bien ce chantier.»

Il a donc fallu au total une dizaine d’années pour que ce projet de restauration aboutisse, d’une part à cause des contraintes techniques de construction(dégradation du site et de l’architecture) et d’autre part par manque de fonds. Mais tout ce temps a été utilisé par l’architecte et son équipe (dont un architecte diplômé en 1997, Spiridon Majdalani) pour effectuer une recherche approfondie sur le contexte religieux de ce monastère.

Une nouvelle caractéristique a été jumelée au projet, à savoir l’ajout d’une aile au couvent Saint Jean-Baptiste, formant ainsi la cour intérieure, pour abriter les cellules et les ateliers des moniales, dans le respect total du style architectural existant. Alors que les moines sont logés dans une ancienne bergerie qui a été transformée en « Kellia »* avec sa propre église (saint-Silouane l’Athonite) : « Le bâtiment a été totalement reconstruit, sauf les parois extérieures ont été préservées, bâties en pierre naturelle ». Les moniales habitent dans le bâtiment principal, le couvent saint-Jean-Baptiste. La qualité spatiale se révèle dans la communication des différents espaces entre eux : un seul lieu de prière divisé en deux églises (l’une dédiée à la Vierge et l’autre à saint-Jean-Baptiste) dans lequel moines et moniales partagent leur prières. On distingue à l’intérieur de la galerie qui mène vers les cellules des moniales une perspective visuelle, tracée par les volumes, qui transpose l’espace en une linéarité et établit un rapport entre l’éphémère et le Divin, soulignant ainsi la relation entre Temporel et Spirituel, un thème essentiel cher à l’architecte Elie Abi Nassif.

Ce thème a d’ailleurs été repris dans le chantier de transformation de la cave en une nouvelle église, celle de la Trinité. Partout, le choix des matériaux de rénovation a été fait pour leur valeur symbolique, tels que la pierre (symbole du monde dense de la matière) et le bois du mobilier (symbole de la croix). Ainsi, dans les églises privées aux religieux, les sièges se réduisent à de simples chaises en bois épurées tandis que pour l’église de la Trinité les bancs et les sièges des religieux ont été inspirés du style gothique, mais simplifié pour s’adapter à l’architecture austère locale.

De nouvelles fresques

Mais le plus impressionnant de tous les éléments de l’église, ce sont les fresques, points culminants de l’espace liturgique. Réalisées par la main de l’artiste-peintre roumain Costel Micou, elles transforment la voûte de l’église de la Trinité en une représentation céleste du berceau de la Bible baignant dans une lueur divine, un effet de lumière conçu par l’architecte. Alors que les fresques des églises privées s’aventuraient sur tout le plafond en révélant des tons pastels sages, dominés par le vert olive qui rappelle les oliviers qui entourent le monastère.

« Pour arriver à ce résultat », explique l’architecte Elie Abi Nassif, « il a fallu réaliser une manœuvre délicate, celle de la consolidation des voûtes par un maillage de fer suivie d’une projection de béton qui sera le support d’une couche d’enduit blanc pour pouvoir peindre les fresques ». De même, les icônes ont été restaurées et de nouvelles ont été ajoutées dans la partie supérieure de l’Iconostase par un artiste libanais d’origine yougoslave, Hakia Bevitch. « Tout ce travail a bien sûr été effectué en étroite concertation entre moi-même, les religieux et les artistes afin de créer une harmonie parfaite et de retransmettre le message évangélique dans sa plus belle image ».

Jehanne Zeidan, Archi 6

* Mot grec désignant un ensemble de bâtiments dépendant d’un grand monastère

 LINK :

http://www.alba.edu/albatros/0607-douma.html

 

 

 

 

Rana Shalhoub

Rana Shalhoub

 
 HANDCRAFTS in Douma  

 

Every country is characterized by its own industries, particularly craft industries highlighting its traditions and culture. Furthermore, every village differs from the other by its industrial and handcrafted goods.

What about Douma's products and their characteristics?

A while back, Douma was known by its cotton-spinning and clothing industry, which nowadays is no more.



Another widespread industry was the spinning and weaving of silkworm cocoons into soft shirts. Moreover, embroidery of bonnets with white silk threads constituted one of Douma's exports. Douma was also knows for the coloring of pomegranate, which granted the nickname of "Tabbah" to one of its producers.

Nowadays, this industry is currently restricted to some activities such as crochet, embroidery, knitting and drawing on fabric. These activities are performed by certain women who were members of the Doumanian National Lady's Committee (Jamiat Fatat Al Watan Al Doumania).

In addition to the above-cited industries, we could find in Douma an industry of fine leather goods mostly used today in the shoe manufacturing industry.

Douma was also very well known for its soap industry facilitated by the abundance of olive trees.

There are four olive oil presses in Douma, two of them traditional and two more modern one of which produces and bottles oil for Mazolla and is very active in export.

There was also an alchohol industry in Douma. There were two facilities that produced Arak relying on the abundance of the grape vines. Nowadays, only one industry remains but their production is only sufficient to meet local needs.

Another industry that requires mention is the sweets and sugar industry. One of the most famous products of Douma is Raha or what is also called Rahat Al Halkoum. Ice cream is also something that

Doumanian sculptors, balcksmiths and craftsmen in the field of furniture, wood and iron works were some of the most skilled in Lebanon. Douma is also known as "Douma Al Hadid" (Douma the Iron), for its renowned craftsmanship in producing iron related products.

Many Doumanian people were renowned in the weapons industry. Hanna Elias Shalhoub became famous due to his renowned reputation and expertise in various weapons industries. In 1881, he created on of the most important arms: a shotgun with two barrels admired by all who had the opportunity to see the mechanics of its operation. The shotgun caught the attention of Lebanon's Mutassarrif Rustum Pasha, who tried very hard to convince Hanna Shalhoub to work for the Mutassarrif's center of armament. However, some interference prohibited him from leaving Douma. Then Wassa Pasha, who was the Mutassarrif's successor, offered him an absolute license in order to carry and transfer his arms of whatever kind. Together with his elder son Salim he manufactured a gun consisting of seven controlled pieces with seventy screws hidden inside it. Nobody could unscrew or dismantle the pieces except the gun's manufacturer.

Rana Shalhoub

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Mounir Maalouf-The roots of Douma

Mounir Maalouf-mid eighties

Every Sunday Morning, sunny or rainy, walks from home to the Church in Douma old souk.

From Home

Passing by…

Towards the Light….

In the Light.

Link :

http://ihaddadphotography.wordpress.com/2011/03/05/mounir-maalouf-the-roots-of-douma/

Rana Shalhoub

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Le Souk De Douma 

Le souk de Douma  était le centre de la prospérité économique et d’un mode de vie aisé. L’édification du souk remonte a la fin du 17eme siècle près de  l’ancien village. Il englobait les maisons des artisans et certains magasins etc…

Les habitants de douma et de son voisinage fréquentaient ce souk ou ils trouvaient ce dont ils avaient besoin comme les machines de fer, le métal , tout genre de céréale, le sel, le savon, la farine, et les tissus etc.… tout cela en un seul pour retourner ensuite a leurs maisons.

Le nombre de magasins de tissage et de la teinturerie de soie s’est mise a augmenter de plus en plus jusqu'à ce qu’il est devenu nécessaire de se développer hors du souk. Pour cela, en 1881, la municipalité de  Douma a arrangé les rues, élargi le souk et obligea les habitants d’appliquer  quelques lois sévèrement : par exemple le dehors de chaque magasin doit être pavé au moins de dix mètres.

En plus des rues et des quartiers, les municipalités a bâti des grandes portes aux entrées du souk pour assurer sa garde le soir et pour la surveillance des marchandises soumises a l’impôt «  Rasm El Keban »    .

Le rôle du souk ne se limite pas a l’économie mais aussi joue-t-il un rôle administratif et culturel car de part les forgerons, on trouve des menuisiers, des cordonniers, des armuriers, un théâtre (1895), une salle de cinéma, une bibliothèque publique et une pharmacie (1860).

Tandis que le rôle administratif se résume par les bureaux officiels surtout le tribunal a la fin de l’ancien souk et aujourd’hui transmis a son nouveau emplacement, la gendarmerie, la grande prison, la direction de l’administration   et l’étable des chevaux de L’état.

Le post se situait dans la partie Est du Souk près des cafés fréquentés par ceux qui ne s’intéressaient qu’a ces endroits.

Et comme Douma n’était qu’une liaison entre les villes Libanaises et syriennes, on n’entendait que le son des « arguilés » répandues dans les cafés, les cloches des cela mules mélangées par les voix de leurs muletiers dirigés vers Damas, Tripoli et Beyrouth.

Actuellement, on n’entend plus les cris des animaux passant par Douma , mais ceux des voitures des habitants ou des visiteurs.

Finalement, ce souk n’a plus un caractère économique relatif a quelque magasins, mais a acquis un caractère traditionnel.     

Rana Shalhoub

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 Histoire de La municipalité de Douma 

Accomplissant cet honnête but, quelques nobles et penseurs de Douma ont contribué a construire un conseil municipal se chargeant des intérêts publics surtout l’amélioration du souk et des rudes routes.

En 1880, un décret-loi est promulgue par le Moutasarref du Liban «  Roustoum Bacha » d’édifier un conseil de municipalité a Douma.

Pour La première fois, « Geryess Hanna El Haddad » , un policier , a été chargé de la perception des taxes de la municipalités et par L’énonciation a voix haute des décisions prises par le conseil, Le matin et le soir sur les toits.  

Rana Shalhoub

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Location Douma, Lebanon
Hours Mon - Sun: 6:00 am - 1:00 am

About The Hotel is located on a mound overlooking the red roofed town of Douma, one of Lebanonâ??s most beautiful villages. It's composed of 36 rooms and 4 suites all tailored to bring you comfort and relaxation and is just 40 minutes drive from Batroun City


Phone 6520202206
Email info@hoteldouma.com
Website http://www.doumahotel.com
http://www.hoteldouma.com

Rana Shalhoub

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Les Monuments Historiques à Douma 

1- Douma représente deux inscriptions grecques :

-        La première se lit sure une augure qui sert aujourd’hui  de fontaine ( la source est nommée Ain AL Tahta ). Au Milieu se voit une sorte de globe fort mal traité qui peut être le globe Egypto-Phénicien.

La traduction serait : « L’an 629 repose Castor serviteur des dieux ASCKULAPE et HYGIAE. C ;est interdit de vendre cette place et celui  qui en ose payera la somme de mille Dinnar pour l’Etat , pour que cette pace restera pour mes hésitants. On suppose que cette auge a été importée d’un autre endroit jusqu'à la source du Temple du dieu de la médecine   qui est devenu aujourd’hui une église.

-        La seconde inscription se lit, non sans difficulté, sur une pierre encastrée dans le mur de l’église :

«  les lignes 3 et 4 forment un noms propre de femme, ça me semble dit Renan dans son livre « Mission en Phénicie ». L’écriture est grosse et penchée vers la droite.  

 

2-  Sarcophage et caveaux :

Dans un mur du jardin se voit un beau couvercle de sarcophage à acrotère, avec une croix sur le plan incliné. Comme a Hatoum dans la place centrale du village on remarque un sarcophage pour Castor, ministre du culte des Dieux de la santé HYGIAE et ACHPUIS, inhume en 317, soit 4 ans après que Constantin le Grand  eut autorise la pratique de la religion Chrétienne en 313.

 

3-  Temples :

Douma par son excellence situation entre la haute montagne et la montagne moyenne devait être florissante a une époque ou le Liban était riche et convenait au culte d’ESCULAPE et D’HYGIAE. C’est pour cela qu’on trouve un ancien temple dédier a eux.

Eglise De Mar Doumit ou Doumtheus en grec, ancien temple païen dédié au Dieu de la Médecine et de la santé HYGIAE. Ce temple a était transformé en une église pour les grecs-orthodoxe dans la période Byzantine. Cette église se trouve a courte distance de la place principale du village.

 

4- Inscriptions Latines :   

Découvertes sur les hauteurs de Douma, elles mentionnent que l’empereur Hadrianus se réservait les arbres des forêts de hêtre, de pin, de cyprès et d’araor. On trouve mentionné dans le livre « Mission en Phénicie » pour « Renan Ernest » ce qui suit :

Je n’ai point trouvé d’inscription d’Adrien dans la dépression fertile ou est située Douma. En général, on les rencontre dans les endroits rocailleux et autrefois sans doute occupé par des forêts. Il me fut dit qu’ il y en avait sur les rochers qui dominent Douma mais on n’a pu me  les trouver . On ne m’a donné que des inscriptions semblables qui seraient du côté ou s’ouvre la gorge de Tannourine.  

 5-  Ancien bâtiments :

 Trouve-on aussi a Douma des monuments d’anciens bâtiments enterrés sous les maisons actuelles en plus des traces d’un ancien hamman sous l’ancien souk village et une autre église connue sous le nom de « Mar Chalita ».

 6- Mar Nohra :

 En Bordure De la route, au dessus du village, se trouve la vieille chapelle rupestre de « Mar Nohra », l’endroit est aménagé pour l’accueil des piques-niqueurs, a l’ombre d’un grand chêne qui date de plusieurs années, mais a condition qu’on respecte cet endroit religieux.

 7- D’autres vestiges antiques :

      Les murs des églises de « Mar Doumit » et « Mar Chalita » abritent des   différentes  vestiges antiques célèbres a Douma. Près du bureau de poste du village  trouve des meules ainsi que les restes des matériaux de perçoires datant de l’époque romaine   tardive ou de l’époque Byzantine

Rana Shalhoub

Rana Shalhoub

Douma Centre de villégiature

« En Eté festivals, activités, et tourisme font la célébrité de DOUMA. Une visite dans ce coin perdu, derrière les hautes montagnes de Batroun, s’impose. Ne perdez pas le souffle, vous y arriverez.

Compter a partir de Beyrouth, deux bonnes heures. »

 

 

Origine du Nom :

L’origine du mot  « Douma » vient de l’ancien Grec et signifie maison ou château. Selon le père Constantin Bacha le nom  Douma est d’origine latine. C’est le nom de d’une reine parmi celles des Byzantins qui fut célèbre par sa beauté et son intelligence et qui s’appelait « Julia Duma ». Elle est née en Alep en 170 après J.C. son père fut le prêtre du Dieu Soleil adoré par le peuple d’Alep. Elle s’est mariée par le césar romain Septime Sévère qui lui a construit un palais dans ce village perché sur les montagnes du mont Liban et qui a pris ensuite le nom de cette reine Douma.

 

 

Histoire Du village :

L’histoire de Douma pourrait se confondre avec celle de n’importe quel village Libanais qui a vu, au début du siècle, une grande partie des siens partir vers les pays d’immigration : des montagnards ayant abandonné une vie rude et austère, un climat difficile qui les obligeait durant les longs mois d’hiver a se confiner a l’intérieur pour aller a la recherche de la fortune sous des cieux plus cléments en Amérique, au Brésil ou en Argentine .

Ce village a pourtant des particularités qui font sa  renommée.  Nombreux sont ceux qui visitent Douma en même temps qu’Annaya (lieu de pèlerinage du moine libanais Saint Charbel). Ces raisons font de Douma un village a caractère spécial.

Les familles de Douma sont majoritairement de rite grec -orthodoxe mais elles comptent aussi des grecs  -catholiques et des maronites.

Plusieurs civilisations on passé par douma : Les grecs et les romains, mais se sont les ottomans qui ont laissé un grand impact sur les habitants de Douma d’après l’histoire de Kashlak.

 

Localisation : 

Le village de Douma est perché a 1000 mètres d’altitude sur le flanc d’une colline. Il est considéré parmi les hauts villages du Mont Liban. C’est un village enclavé dans le Caza de Batroun, distant de 80 Km de Beyrouth du côté littoral Ouest et de 35 Km de Tripoli du côté du Nord.

Situé a côté de Annaya, le village sacré se Saint Charbel , Douma s’active avec un voisinage enrichissant tel les villes de Kfarhelda , Beit Chlela, Tannourine , Becheale .

Caractéristiques :

Malgré les progrès de la médecine moderne, la cure thermale séculaire n’a rien perdu de sa valeur .Dans les stations de cure, l’homme harasse trouve le repos et la détente qui lui sont nécessaires, loin du stress psychique, du bruit et de la lutte pour l’existence qu’il rencontre dans sa vie de tous les jours.

Renommé pour ses eaux minérales, Douma est un centre thermal pour les cures notamment pour les soins des maux d’estomac. Il jouit d’un climat unique tempéré conseillé par les médecins pour ceux qui sont atteints de tuberculose.

Les romains y déifièrent un temple dédié a la déesse de la santé « Hygiae ». Son terrain riche permet toutes sortes de plantation, en particulier celle de l’olive, de la vigne et du pommier surtout dans la partie nommée Feghry.

LINK :

 http://www.facebook.com/#!/groups/2266275469/

Rana Shalhoub

Rana Shalhoub

This interview covers Saad’s professional career, with an emphasis on his work at the MIT Radiation Lab during World War II. Saad received his BS in Electrical Engineering in 1941, specializing in communication. He joined the MIT Radiation Lab (Rad Lab) in January 1942, partly to serve his country and partly to avoid the draft. He worked in the theoretical division under Norm Ramsey and Ed Purcell, and then switched to work in the microwave components division under Jerrold Zacharias. In particular he designed a directional coupler, devised a system to see if/when microwave parts would break down at high altitude, and then worked on the microwave aspects of the beacon group. After the war ended, he worked for a number of companies in the microwave field—Submarine Signal Company (1945-49), Microwave Development Laboratories (1949-53), both of these in association with Henry Riblet, and Sylvania (1953-55). He then founded his own company, Sage Laboratories, working on coaxial lines and other related media. Raab describes the microwave business as having been heavily dependent on government purchases to begin with, only lately finding wider private-sector markets. The industry itself is friendly and incestuous, with competitors buying and selling products from one another.

Links:

http://www.ieeeghn.org/wiki/index.php/Oral-History:Theodore_Saad

http://www.ieeeghn.org/wiki/index.php/IEEE_Microwave_Theory_and_Techniques_Society_History

Rana Shalhoub

Rana Shalhoub

Metropolitan Antony (Bashir)


Born: Douma, Lebanon, March 15, 1898, to Joseph and Zaina Bashir

Educated:

  • Balamand Monastery, 1911-1916
  • American University of Beirut
  • Ba`abda Law School, Beirut (Lebanon)

Ordained:

  • Deacon, April 16, 1916
  • Priest, 1922
  • Archbishop, April 19, 1936, in St. Nicholas Cathedral, Brooklyn, NY, by Metropolitan Theodosius of Tyre-and-Sydon and Archbishop Vitalii Maksimenko

Ministry:

  • Instructor, American University of Beirut andZahrat al-Ahson School, Beirut
  • Archdeacon and Secretary to Metr. Gerasimos Bessara
  • Pastor, St. George Church, Vicksburg, MI (1924-27)
  • Pastor, St. George Church, Terre Haute, IN (1927-30)
  • Pastor, St. George Church, Detroit, MI (1930-36)
  • Archbishop of New York and North America (1936-66), overseeing some 75 parishes
  • Representative of Patriarchate of Antioch to United Christian Conference on Life and the World, Edinburgh, Scotland; and World Conference on Faith and Order, Oxford, England (1938)
  • Spearheaded foundation of "Federation for the Primary Jurisdictions of the Orthodox Greek Churches in America" (1942)
  • Founded Syrian Orthodox Youth Organization (S.O.Y.O. -- 1951)
  • Vice-President, Standing Conference of Orthodox Bishops in the Americas (1960-66)
  • First Orthodox hierarch to join the National Council of the Churches of Christ (1960); named National Vice President

Writings:

  • al-Kalimat [The Word] (Edited: 1905-15)
  • The Prophet by Kahlil Gibran (Translated into Arabic)
  • Sand and Foam by Kahlil Gibran (Translated into Arabic)
  • The Made Man by Kahlil Gibran (Translated into Arabic)
  • The Forerunner by Kahlil Gibran (Translated into Arabic)
  • Jesus, the Son of Man by Kahlil Gibran (Translated into Arabic)
  • The Earth of Gods by Kahlil Gibran (Translated into Arabic)
  • The Words of Gibran (Translated into Arabic)
  • Why I am a Christian by Frank Crane (Translated into Arabic)
  • Life of Christ by Giovanni Papinni (Translated into Arabic)
  • The Simple Life by Charles Wagner (Translated into Arabic)
  • The Man Nobody Knows by Bruce Barton (Translated into Arabic)
  • Today and the Future Day by A. Brisbane (Translated into Arabic)
  • One Year in Mexico
  • The Year to Success
  • Read and Think by the Master Thinker
  • The Greek Orthodox Church
  • al-Marah al-Jadidah [The New Woman] (edited: political journal)
  • al-Khalidat [The Immortals] (edited: literary periodical)
  • Majallat al-Kalimat [The Word Review] (contributor)
  • The Word (re-established, in English)


Died:
Boston, MA, February 15, 1966

 

BRIEF SUMMARY: The Lebanese-born Bashir had achieved renown as a writer and translator of Arabic literature before coming to America in 1922 as his patriarch's representative to the General Convention of the Episcopal Church. Following ordination that year to the priesthood, he served a variety of parishes and as a roving missionary across the Midwest while continuing to acquaint the Arab world with Western thought and vice versa through translations. Consecrated bishop in New York in 1936 by one faction of Russian hierarchs the same day as a rival candidate, Samuel David, was elevated in Toledo, his episcopacy was conceived in conflict and saw the final separation of the Syrians from the Russian jurisdiction. Though supported by his patriarch, Bashir had to overcome tragic ethnic division, doing so chiefly through energy and administrative prowess. He created a youth-oriented Society of Orthodox Youth Organizations (SOYO), shifted the archdiocesan magazine, the Word, to an English format, and instituted a Western Rite to accomodate converts. He also possessed a keen vision of what American Orthodoxy as a whole ought to be and pushed to achieve it. He was an early advocate of the use of English and of comprehensive religious education programs, and was the inspirational force behind the formation in 1938 of the Federation of Primary Jurisdictions of the Orthodox Greek Catholic Churches in America, precursor to SCOBA, which latter body he served as vice president from its formation in 1960 until his death.


Bibliography:

  1. Nasr, Constantine, The Antiochian Missionary, Metropolitan Antony Bashir (unpublished M.Div. thesis, St. Vladimir's Seminary).
  2. __________., "Metropolitan Antony Bashir, 1898-1966," Word 39.8 (Oct. 1995), 11-16. S
  3. Garrett, Paul D., "Metropolitan Antony Bashir," Word REF (REF), PAGES

LINKS:

http://www.antiochian.org/Bishops/antony_bashir.htm

http://orthodoxwiki.org/Antony_(Bashir)_of_New_York

 

Rana Shalhoub

Rana Shalhoub

 

Where Do We Go Now?

 

Directed by

Nadine Labaki

Produced by

Anne-Dominique Toussaint

Written by

·         Nadine Labaki

·         Rodney El Haddad

·         Jihad Hojeily

·         Sam Mounier

Starring

·         Nadine Labaki

·         Leyla Fouad

·         Claude Msawbaa

·         Antoinette El-Noufaily

Music by

Khaled Mouzanar

Distributed by

Les Films des Tournelles

Release date(s)

16 May 2011 (2011-05-16) (Cannes)
22 September 2011 (2011-09-22) (Lebanon)
11 May 2012 (2012-05-11) (USA)

Running time

110 minutes

Country

Lebanon
France
Egypt
Italy

Language

Arabic

Budget

US$6.7 million[1]

Box office

uS$124.8 million

Where Do We Go Now? (Arabic: ????? ????? w halla' la wayn, French: Et maintenant, on va où) is a 2011 film by Lebanese director Nadine Labaki. The film premiered during the 2011 Cannes Film Festival as part of Un Certain Regard . The film was selected to represent Lebanon for the 84th Academy Awards, but it did not make the final shortlist. The film won the Cadillac People's Choice Award at the 2011 Toronto International Film Festival.

Plot

Where Do We Go Now? Tells the story of a remote, isolated unnamed Lebanese village inhabited by both Muslims and Christians. The village is surrounded by land mines only reachable by a small bridge. As civil strife engulfed the country, the women in the village learn of this fact and try, by various means and to varying success, to keep their men in the dark, sabotaging the village radio, and then destroying the village TV.

The story begins with a boy named Roukoz, whose job - along with his cousin, Nassim - is to venture outside the village and bring back much-needed merchandise such as soap, utensils, newspapers, lightbulbs. Roukoz lives with Nassim's family, and it is made clear that Nassim has lost his father. Roukoz tries to fix the church speakers, and falls off his ladder, crashing into the cross and snapping it in half. Other characters include the village mayor and his wife Yvonne (Christians), the cafe-owner Amal (played by Nadine Labaki), Rabih (the village painter and Amal's love interest) and his sister, Issam (Nassim's brother) and his wife Aida, and the village priest and village sheikh. The next day, the congregation is gathered in church to celebrate the Sunday mass; The Priest preaches about the need to fix the church, and blames the broken cross on the wind, telling churchgoers to keep their cool and that their fellow Muslims have nothing to do with it. Sometime later the Imam discovers that some goats have found their ways into the mosque, and urges the Muslims not to blame the Christians for what had happened. As people starts to gather, however, a Muslim man blames the Christians for what has happened and a small fight ensues.

The village is slowly drawn into greater violence; but the women get along beautifully and conspire together to keep their men from fighting, even hiring Eastern European dancers to entertain their men. But as Nassim is killed in a skirmish between Christians and Muslims while on an errand in a nearby town, the women are faced with a real test of wills. In an attempt to control the situation, they drug the men by mixing hashish inside sweet pastries and remove their weapons from the village. This ensured that fighting would not resume in the village during or after Nassim's funeral.

Cast

  • Nadine Labaki as Amale
  • Claude Moussawbaa as Takla
  • Layla Hakim as Afaf
  • Antoinette Noufily as Saydeh
  • Yvonne Maalouf as Yvonne (from DOUMA)
  • Adel Karam as the bus driver
  • Mustapha Sakka as Hammoudi
  • Mustapha El Masri as Hanna

Release

The film was part of the official selection at the 2011 Cannes Film Festival in the Un Certain Regard parallel competition. The film was released on 14 September 2011 in France and 22 September 2011 in Lebanon, Syria and Jordan.

Production

The shooting of Where Do We Go Now? lasted for 2 months from 18 October until 18 December 2010. Khaled Mouzanar, Labaki's husband, composed the music for the film. The movie was released in Cannes in May 2011. 

The film was shot in Taybeh a village near Baalbek because the town contains a Church neighboring a mosque; other towns were used during the shooting like Meshmesh, Douma, and Jeita's Church Al-Saydeh.

Awards and nominations

LINKS:

http://en.wikipedia.org/wiki/Where_Do_We_Go_Now%3F

http://www.imdb.com/name/nm4463554/news

http://www.upcoming-movies.com/Articles/where-do-we-go-now-et-maintenant-on-va-o-movie-clips-and-images

 

Rana Shalhoub

Rana Shalhoub

 

Sam Maloof

Born

January 24, 1916(1916-01-24)

Died

May 21, 2009(2009-05-21) (aged 93)

Residence

Alta Loma, California

Occupation

Woodworker

Spouse

Alfreda Louise Ward (1948-her death),
Beverly Wingate Maloof (2001–his death)

 

 

 

 

The rear of the Sam Maloof site showing the roofs of his shops and museum. Note the roof lines.

Sam Maloof (born Samuel Solomon Maloof, a member of the large Maalouf family) (January 24, 1916 - May 21, 2009] was a furniture designer and woodworker. He was born in Chino, California, USA, to parents who immigrated to the United States from DOUMA, Lebanon. He attended high school first at Chaffey High School in Ontario, California, where he took his first woodworking class and was recognized by his art teacher as having extraordinary skill. Later he attended Chino High School. Shortly after completing high school, he began working in the art department of the Vortox Manufacturing Company in Claremont, California. He was drafted into the United States Army on October 11, 1941. After serving in the Pacific theater and then transferring to a post in Alaska, Maloof left the army in 1945 to return to Southern California.

Maloof married Alfreda Louise Ward on June 27, 1948 and the couple moved into a house at 921 Plaza Serena, Ontario, California where Sam set up a furniture workshop in the garage. Mostly from necessity, Maloof designed and built a suite of furniture for his home using salvaged materials. Commissioned pieces followed, and from 1949-1952 Maloof continued working in the garage of his Ontario home. In 1953, Maloof relocated to Alta Loma, California where he built a studio to continue making furniture.

Maloof's work is in the collections of several major American museums, including the Metropolitan Museum of Art, the Los Angeles County Museum of Art, the Philadelphia Museum of Art, and the Smithsonian American Art Museum, In 1985 he was awarded a MacArthur "Genius" grant. Presidents Jimmy Carter and Ronald Reagan have both owned Maloof rockers.

Sam Maloof resided in Alta Loma, California, a neighborhood community in the City of Rancho Cucamonga. On a former citrus orchard are his home, his furniture shops and the site of the Sam and Alfreda Maloof Foundation for Arts and Crafts.

He was described by the Smithsonian Institution as "America's most renowned contemporary furniture craftsman" and People magazine dubbed him "The Hemingway of Hardwood." But his business card always said "woodworker." "I like the word," he told a Los Angeles Times reporter, his eyes brightening behind large, owl-eyed glass frames. "It's an honest word."

In 1985 Mr. Maloof became the first craftsman to receive a MacArthur fellowship; and despite such recognition, he declined to identify himself as an artist. His autobiography was titled Sam Maloof: Woodworker

 

Links :

 

http://en.wikipedia.org/wiki/Sam_Maloof

 

http://www.google.com/search?q=sam+maloof+rocking+chair&hl=en&qscrl=1&nord=1&prmd=imvnso&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ei=rENeT97FMYnP0QWCx5DrDQ&sqi=2&ved=0CC4QsAQ&biw=1093&bih=417

Rana Shalhoub

Rana Shalhoub

Ses infos
  • Prénom : Jhony
  • Nom : Maalhouf
  • Age/Ville : 29 ans - Lyon (69)
  • Equipe : Garou
  • Titre interprété : « You raise me up », Josh Groban
Sa biographie

Chercheur et chanteur, " la tête chanteuse "
Originaire du Liban ( DOUMA, Liban Nord) , Jhony commence à chanter à l'église dès son plus jeune âge. " Au Liban, chanter c'est culturel ". Etudiant en biochimie, il arrive en France en 2003, pour finir ses études. C'est à ce moment qu'il décide de faire sérieusement de la musique. Avec son groupe, ils sont reçus au conservatoire de musique de Lyon où ils y restent 3 ans. Mais Jhony doit se consacrer à ses études pour soutenir sa thèse. Il arrête la musique pendant 1 an.
Aujourd'hui, Jhony arrive à mener de front ses 2 passions : la musique et son métier. Il est chercheur en biologie cellulaire au CNRS et a de nouveau un groupe avec lequel il se produit sur Lyon et sa région.

" J'ai les cordes vocales d'un enfant de 6 ans "
Jhony est passionné par la voix. " Je suis chanteur, c'est mon instrument ". Sa participation à The Voice est donc logique pour lui. Mais Jhony adore son métier ! " C'est compliqué pour moi d'envisager de l'arrêter... Si la musique prend trop de place, je vais devoir y réfléchir "

Links :

http://www.youtube.com/watch?v=h9vn0I1lcuo&list=HL1331589742&feature=mh_lolz

http://www.youtube.com/watch?v=Ty_6G2lIJ-o

 http://www.tf1.fr/the-voice/coachs-talents/equipe-garou/jhony-maalhouf-7048155.html

http://videos.tf1.fr/the-voice/the-voice-jhony-maalhouf-interprete-you-raise-me-up-7048527.html

Administrator

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Le Village de Douma

Ce village aux toits rouges à 1050 metres d'altitude et à, 88 kilometres de Beyrouth se situe le long d'une vallée fertile connue sous le nom de Kfar Hilda, fiere de ses restes antiques. Douma est habité depuis les temps des Romains en l'an 317.

On pense que le nom est Phenicien puisqu'il a été utilisé dans l'hébreu avec la même prononciation " Dumah " qui signifie " calme et repos ". " Dumah Al-Jendel " est de la même racine et pourrait signifier le " calme et le silence ". " Al-Jendel " signifie : " grande roche " et sa traduction peut être ainsi: l'endroit du culte de roche, qui était répandu avec les Semites.


Au bord de la route juste au-dessus de la ville se trouve l'église antique de Saint Nohra construite dans la roche. De la porte en bois façonnée des galettes d'arbre à la cour ombragée avec un grand chêne méditerranéen, cette place charmante est certainement intéressante pour être visitée.

 

La source d'eau à Douma, connue en "El-Ayn El-Tahta", a un côté où des gravures grecques ont été trouvées et où il est inscrit: " repose ici le prêtre Castor des dieux Esklipios et Egia, je déclare cet endroit ne devant pas être vendu, et celui qui ose le faire, doit payer 200,000 dinars au trésor ainsi il peut rester à mes héritiers ".


Cette pierre est censée avoir été déplacée a la source de son endroit initial près d'un bâtiment qui est pensé avoir été un temple pour le Dieu de médecine et cela a été transformé plus tard en une église pour Saint Doumit.